14 février 2015
Décidément depuis la victoire de Syriza aux élections grecques le temps politique s’accélère au point où il est difficile pour les commentateurs en Grèce et à l’étranger de suivre le rythme.
Après la constitution du gouvernent réussie, c’est le vice-premier ministre expérimenté Yannis Dragasakis qui coordonne les opérations sur le front intérieur. Tsipras lui s’est tourné vers l’étranger et la délicate négociation qui l’attend avec les créanciers de la Grèce. Cette négociation a pris une tournure dramatique suite au coup de force de la BCE [1].
Des ministres décontractés et une présidente du Parlement motivée
Zoé Konstantopoulou, juriste de formation et députée depuis 2012, a été élue présidente du Parlement (...)